ENTRETIEN AVEC CHEIKH ALIOU NDAO
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ULE IGBO / GUIDE DE RÉVISION D’IGBO POUR LES EXAMENS – EXTRAIT “DEVINETTES”
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Dum dum n’ukwu ebenebe :
Nnukwu mmadụ nwụọ akwa adaba
|
Un bruit soudain dans le dos :
Un grand homme est mort et tout le monde pleure |
Chacharara bii :
Mmiri ozuzo |
Chacharara bii (onomatopée imitant le bruit de la pluie sur les toits de tôle) :
La pluie |
Tụm tụm gem gem :
Ọsọ mgbada bụ n’ugwụ |
Tum tum gem gem (onomatopée imitant le bruit des sabots sur le sol) :
Le galop de l’antilope sur la colline |
Nwa agbọghọ kpu okpu n’ịkpa :
Ero |
Une jeune fille qui s’est coiffée d’un chapeau dans un terrain vague :
Le champignon |
Ejeghị eje, alaghị ala :
Ogwumagana |
Il ne sort pas, il ne rentre pas :
Le margouillat |
Akwa ọcha e kobere n’ogige :
Imi (e ziri ezi) |
Un tissu blanc pendu à la palissade :
La morve |
Ihe bu ụlọ ya aga njem :
Mbe |
Qui voyage en portant sa maison sur le dos :
La tortue |
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CONTES IGBO DU NIGÉRIA – EXTRAIT “GRÂCE À LA FORCE DU LÉOPARD”
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J’ai ramassé des haricots, oti !
J’ai ramassé des haricots, oti !
J’ai ramassé des haricots, oti !
J’ai ramassé des haricots, oti !
J’ai ramassé des haricots, oti !
Le léopard a pris les haricots, oti !
J’ai appelé ma mère, oti !
– Ma mère, poursuis le léopard ! Oti !
Ma mère m’a dit : oti !
Qu’elle ne savait pas le poursuivre, oti !
J’ai appelé mon père, oti !
– Père, poursuis le léopard ! Oti !
Mon père m’a dit, oti !
Qu’il ne savait pas le poursuivre, oti !
J’ai appelé mon frère, oti !
– Frère, poursuis le léopard ! Oti !
Mon frère m’a dit, oti !
Qu’il ne savait pas le poursuivre, oti !
J’ai poursuivi le léopard, oti !
Je l’ai poursuivi, oti !
Arrivé à Eke Umuoji[1], oti !
J’ai attrapé le léopard, oti !
Je l’ai vendu, oti !
Et j’ai utilisé l’argent oti !
Pour me marier[2], oti !
Ma femme a attendu un enfant, oti !
Elle a eu l’enfant, oti !
Et j’ai de nouveau appelé ma mère, oti !
Et je lui ai dit de nommer l’enfant, oti !
Ma mère m’a dit, oti !
Qu’elle ne savait pas quel nom lui donner, oti :
J’ai appelé mon père, oti !
Et je lui ai dit de nommer l’enfant, oti !
Mon père m’a dit, oti !
Qu’il ne savait pas quel nom lui donner, oti !
J’ai nommé mon enfant, oti !
Arinze ike agụ – « grâce à la force du léopard[3] », oti !
Raconté par Ekemma ONYEDIKA,
Octobre 1986
[1] Un marché.
[2] Ce sont les jeunes gens qui paient la dot, dont le montant est fixé par la famille de la jeune fille.
[3] Les noms et prénoms ont toujours une signification et sont souvent en rapport avec les circonstances de la naissance.
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CONTES IGBO DE LA TORTUE (NIGÉRIA) – EXTRAIT “LA MORT DE LA TORTUE”
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Une fois, le Coq alla chercher du feu chez la Tortue. Quand il arriva, il lui dit qu’il était venu chercher du feu. La Tortue lui dit d’entrer en prendre, d’aller en chercher dans l’âtre. Mais quand il arriva là où la Tortue faisait la cuisine et qu’il se pencha pour prendre du feu, la Tortue l’attrapa, souleva le couvercle de la marmite où bouillait de l’eau, la jeta dedans et referma. La Poule attendait son mari. Elle l’attendit longtemps et, comme il ne rentrait pas, elle se mit à sa recherche. Elle le chercha partout et aboutit chez la Tortue. À son arrivée, elle se mit à chanter :
Tortue, je cherche le Coq, le mari de la Poule !
Mgba mgbam eleghelelele !
Le mari de la Poule !
Mgba mgbam !
Tortue, je cherche le Coq, le mari de de la Poule !
Mgba mgbam eleghelelele !
Le mari de la Poule !
Mgba mgbam !
S’il est endormi, son cœur s’éveille !
Mgba mgbam eleghelelele !
Le mari de la Poule !
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GIRLIŊ KABA / LA FILLE SANS MAINS
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Girliŋ kaɓa. | Girliŋ kaɓa. |
Yoo, ɗoo boo debbo laamɗo. | Bon, ici aussi, c’est une femme de chef. |
Ooho ! | Ooho ! |
Laamɗo yiɗi muuygo debbo. | Le chef a envie d’aller courtiser une femme. |
Mhm ! | Mhm ! |
Ɗon dilla | Il s’en va |
(rire) | (rire) |
bee maccuɓe muuɗum. | avec ses serviteurs. |
Mhm ! | Mhm ! |
Ɓe njaali derke’en ɗiɗo, | Ils passent à côté de deux jeunes filles[1], |
Mhm ! | Mhm ! |
ɗon mba’’ii jaɓɓi. | qui sont montées dans un tamarinier. |
Mhm ! | Mhm ! |
Laamɗo siiwtake bee wiirɓe mum. | Le chef se repose avec ses notables. |
Mhm ! | Mhm ! |
Yoo ! Mm, gooto teɓa burkumje soltina dow laamɗo. | Bon ! Euh… l’une cueille des tamarins à moitié mûrs et les fait tomber sur le chef. |
(dow wiirɓe) | (sur les notables[2]) |
Mhm ! | Mhm ! |
Ɓennduɗe soltina dow wiirɓe, | Les mûrs, elle les fait tomber sur les notables, |
Mhm ! | Mhm ! |
burkumje boo dow laamɗo. | les non mûrs sur le chef. |
Mhm ! | Mhm ! |
Suy, ɓe mbii : « Alla am ! Colli ɗiye ni ƴoyɗi ɗii ? » | Alors, ils disent : « Nom de nom ! Quels sont ces oiseaux si malins ? » |
Mhm ! | Mhm ! |
Gooto, biiro gooto tijjii nii wii : | L’un, un notable tourna la tête vers le haut et dit : |
« Barka maaɗa, | « Majesté, |
Mhm ! | Mhm ! |
naa ɗum colli, ɗum neɗɗo ! » | ce ne sont pas des oiseaux, c’est quelqu’un ! » |
Mhm ! | Mhm ! |
O wi’i : « Kaay! Neɗɗo waɗataa bannii. | Il dit : « Voyons ! Personne ne ferait ça ! |
Mhm ! | Mhm ! |
Codee mo daande. » | Coupez-lui la tête[3]. » |
Mhm ! | Mhm ! |
Ɗum fuɗɗiti. | Ça recommence. |
Oya goo wi’i mo yoo : | Un autre [notable] lui dit : |
Mhm ! | Mhm ! |
« Barka maaɗa, | « Majesté, |
Mhm ! | Mhm ! |
koo a waɗatam bana ko ngaɗɗaa mo ɗoo, | même si tu me fais comme tu as fait à [l’autre], |
Mhm ! | Mhm ! |
ɗum neɗɗo. » | [je t’assure que] c’est une personne. » |
Mhm ! | Mhm ! |
Laamɗo goo tijjii nii tawi ɗum neɗɗo. | Le chef tourna la tête vers le haut et constata que c’était une personne. |
Mhm ! | Mhm ! |
« Njippinee ɓe ! » | « Faites-les descendre ! » |
Na’am ! | Na’am ! |
Ɓe njippake, | Elles sont descendues, |
Mhm ! | Mhm ! |
ɓe njooɗake. | et se sont assises. |
Mhm ! | Mhm ! |
Laamɗo goo, | Le chef |
Mhm ! | Mhm ! |
e jo’’ini derke’en goo. | fait asseoir les jeunes filles. |
Biiro ɓaŋi marɗo juuɗe. | Un notable épouse celle qui a des mains. |
Laamɗo goo boo wi’i : « Miin kam, guddo[4] ngiɗmi ! | Le chef dit : « Moi, c’est celle qui n’a pas de mains que je veux ! |
Mhm ! | Mhm ! |
Na’am ! | Na’am ! |
Miin kam, guddo ngiɗmi ! » | Moi, c’est celle qui n’a pas de mains que je veux ! » |
Mhm ! | Mhm ! |
Yoo ! Ɓe ɓaŋi. | Yoo ! Ils [le chef et son notable] se sont mariés. |
Mhm ! | Mhm ! |
Ɓe njahanno muuygo goo na, laamɗo na ɓe ɓaŋi ɓee fuu. | Ils étaient allés faire la cour, et ils se sont tous mariés. |
Ooho ! | Ooho ! |
Yoo, ɓe kuuci, ɓe tawti nawloraaɓe, nawliraaɓe : | Bon, ils rentrent chez eux et retrouvent les coépouses : |
Mhm ! | Mhm ! |
« – Hii, debbo laamɗo na guddo. | « – Eh ! La [nouvelle] femme du chef est manchote ! |
– Ayyee ! Laamɗo ni wurtanoo ɓaŋgal, | – Ah bon ? Le chef était sorti en vue d’un mariage, |
dilli ɓaŋoygo nii ɓaŋa guddo. » | il est parti se marier et a épousé une manchote. » |
Mhm ! | Mhm ! |
Nawliraaɓe njooɗii ɓiira moy fuu haɓɓitoo bee kuule mum. | Les coépouses décident, ɓiira ! que chacune revête ses plus beaux pagnes. |
Mhm ! | Mhm ! |
Sappa maako goo, | Son amie, |
Mhm ! | Mhm ! |
caka jemma hooci waawi mo. | au milieu de la nuit prit sur son dos [la manchote]. |
Ooho ! | Ooho ! |
Ɓe ndilli, | Elles s’en sont allées, |
ɓe njehi haa loogo lekki. | elles sont allée dans le creux d’un arbre. |
Ɓe njehi ɓe mahoyi kooli har guddo goo, | Elles sont allées fabriquer des doigts pour la manchote, |
Mhm ! | Mhm ! |
ɓe ngartiri. | et elles sont revenues. |
Mhm ! | Mhm ! |
Yoo, nde ɓe ngarti, | Bon, une fois de retour, |
Mhm ! | Mhm ! |
yoo, jam, ɓe ngarti goo, | bon, quand elles furent revenues, |
yoo, debbo laamɗo, janngo o wurtotoo. | bon, la femme du chef, c’est demain qu’elle doit sortir. |
Mhm ! | Mhm ! |
Na waɗa jeeɗiɗiire ɗoo koowaaɗo wurtotoo na? | C’est le septième jour que la nouvelle mariée doit sortir, n’est-ce pas ? |
Ooho ! | Ooho ! |
Yoo, janngo o wurtotoo. | Bon, c’est demain qu’elle doit sortir. |
Goɗɗo, nawliraawo oo wi’i : | Quelqu’un, telle coépouse dit : |
« Miin kam, to naa o guddo, | « Moi, si elle n’est pas manchote, |
Mhm ! | Mhm ! |
Alla mi lattoo kaatinɗe maako. » | par Dieu, que je me transforme en foyer pour elle ! » |
Mhm ! | Mhm ! |
Oo boo wi’i : « – To naa o guddo, | Une autre dit : « – Si elle n’est pas manchote, |
Alla mi lattoo fayannde maako. » | Que Dieu me transforme en marmite pour elle ! » |
Mhm ! | Mhm ! |
– To naa o guɗɗo, Alla mi horɗanoo mo. | – Si elle n’est pas manchote, par Dieu, que je devienne son esclave ! |
Mi ɗon huuwana mo tum noon bana booy goo. | Je travaillerai définitivement pour elle comme une domestique. |
Mhm ! | Mhm ! |
– Yoo, to naa o guddo, Alla mi teenana mo leɗɗe. » | – Bon, si elle n’est pas manchote, par Dieu, que je ramasse du bois mort pour elle ! » |
Yoo, debbo losake wurtake | Bien, la femme s’extrait [de la case] et sort |
Mhm ! | Mhm ! |
ba leelewal. | comme un clair de lune. |
Mhm ! | Mhm ! |
Wurtake ! | Elle sort ! |
Laamɗo waɗi faada mum. | Le chef a réuni sa cour. |
Mhm ! | Mhm ! |
Debbo ɗon wurtoo. Debbo yaadu mum. | La femme sort. La femme, sa démarche… |
Debbo wi’i sonaa ɓe mbe’’itana ɗum tappi haa tappi haa jokkoo haa laamɗo woni, | La femme dit qu’elle n’avancera pas à moins qu’on lui étale des tapis[5] jusqu’où se trouve le chef, |
Mhm ! | Mhm ! |
haa yolnde laamɗo woni ! | jusqu’au seuil [de la maison] du chef ! |
Mhm ! | Mhm ! |
Ɓe mbii : « Hala ! Ngam guddo oo oon na ? | Elles disent : « Comment ! pour une manchote comme ça ? |
(Rire) | (Rire) |
Guddo oon tappi haa tappi na ? | Pour cette manchote, tapis sur tapis ? |
(Rire) | (Rire) |
Hala ! Oo oon na ? » | Voyons ! Pour celle-là ? » |
Mhm ! | Mhm ! |
Debbo wurtake. | La femme sort. |
Mhm ! | Mhm ! |
Too, ɓiira ɗon yaha ! | Bien, ɓiira, elle marche ! |
Tap, Girliŋ kaɓa ! | Tap, girliŋ kaɓa[6] ! |
Taɓɓa mo to o do’’ore. | Retiens-la[7] de peur qu’elle ne te tombe dans les mains. |
To o do’’ake, en ngiidan ! | Si elle tombe, tu vas voir ce que je vais te faire ! |
Mhm ! | Mhm ! |
Tap, girliŋ kaɓa ! | Tap, girliŋ kaɓa ! |
Taɓɓa mo to o do’’ore. | Retiens-la de peur qu’elle ne te tombe dans les mains. |
To o do’’ake, en ngiidan ! | Si elle tombe, tu vas voir ce que je vais te faire[8] ! |
Mhm ! | Mhm ! |
Tap, girliŋ kaɓa ! | Tap, girliŋ kaɓa ! |
Ɗoo kam yaadu maako. | Telle est sa démarche. |
Mhm ! | Mhm ! |
Ɓe ɗon mbakki mo; | Ils marchent à ses côtés, |
Maccuɓe ɗon mbakkii mo. | les serviteurs marchent à ses côtés. |
Yaadu maako ɗoo, | Sa démarche… |
Mhm ! | Mhm ! |
maccuɓe ɗon mbakkii. | les serviteurs marchent à côté. |
Ooho! | Ooho! |
Tap, girliŋ kaɓa ! | Tap, girliŋ kaɓa ! |
Taɓɓa mo taa o do’’ore, | Retiens-la de peur qu’elle ne te tombe dans les mains. |
To o do’’ake, en ngiidan ! | Si elle tombe, tu vas voir ce que je vais te faire ! |
Mhm ! | Mhm ! |
Laamɗo wi’a : « To o do’’ake, en ngiidan » ! | Le chef dit : « Si elle tombe, tu verras ce que je vais te faire » ! |
(Rire) | (Rire) |
Nii, takala mulus ! | Comme ça, c’est fini ! |
[1] C’est plus loin seulement qu’on comprend qu’il s’agit ici de jeunes filles et non de jeunes gens, ce que le fulfulde (derke’en) ne précise pas.
[2] Jam-Duudu tente de corriger la conteuse, qui ne se rend pas compte de son erreur.
[3] Le chef fait décapiter le notable qui lui a donné cette information à laquelle il ne croit pas.
[4] Manchot, personne estropiée d’un membre supérieur (main, doigt, bras).
[5] Litt. : « La femme dit sauf si on lui étale des tapis pour que les tapis rejoignent là où est le chef ».
[6] Ces trois mots ont valeur idéophonique ; ils décrivent la démarche altière de l’ancienne manchote. Les lignes suivantes, très rythmées en fulfulde, évoquent un accompagnement de tambour.
[7] C’est le chef qui dit cela par manière de menace à l’endroit de la personne qui accompagne sa nouvelle femme.
[8] Litt. : « nous allons nous voir ».
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DOGGUGO LELEL / LA COURSE DE LA PETITE GAZELLE
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Yoo ! | Bon ! |
Doggudu lelel. | La course de la gazelle. |
Doggudu lelel na ? | La course de la gazelle ? |
Mhm ! | Mhm ! |
Yoo, ɗoo boo, doggudu lelwa. | Bon, en ce cas, [voici] la course de la gazelle. |
Mhm ! | Mhm ! |
comptine : Lelel lelel, ko ndoggataa? | comptine : Gazelle, gazelle, pourquoi cours-tu ? |
Naa mi doggan, | Je ne cours pas, |
Mi yejjitan bidibidi yaadu foondu ; | J’oublie le petit pas rapide de la marche du pigeon ; |
Tawmi colel keƴƴaangel[1] ; | J’ai trouvé un oiselet coupé en tranches ; |
Tawmi binndi caafaali ; | J’ai trouvé les tachetures[2] du lycaon ; |
Nagge nani duudaango | La vache a entendu l’aboiement [?] |
duudiingel girim pak | Le petit aboiement girim pak |
girim pak ngel dawaaɗi, | Le girim pak des chiens, |
Dawaaɗi mbaalii woygo; | Les chiens ont aboyé toute la nuit |
Daftaaɗi mbaalii woygo | Les [chiens] du grand matin [?] ont passé la nuit à crier, |
damta kurutuyel. | damta kurutuyel. |
Mhm ! | Mhm ! |
Suy ! | C’est fini ! |
(Rire) | (Rire) |
Suy na ? | C’est fini ? |
Timmi ! | C’est terminé ! |
(Rire) | (Rire) |
[1] Participe passif de heƴƴugo « couper, trancher », absent de Noye 1989.
[2] Litt. : « les écrits ». La comptine compare les taches du pelage du lycaon à des signes graphiques.
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