Littérature berbère kabyle

Littératures en présence

Les littératures orales et écrites en berbère coexistent dans différentes formes et constellations. La présentation est focalisée ici sur la littérature en kabyle. Pour les variantes, voir « Langue berbère ».

Littérature orale

Elle se décline en plusieurs genres : la devinette, l’énigme, le proverbe, le conte et la poésie.

Poésie

La poésie est le genre le plus diversifié, le plus répandu et par ailleurs le plus légitimé, celui à partir duquel la conception sociale de la littérarité se formalise, à travers les représentations discursives qui se développent sur les pratiques poétiques.
Intimement liée à la vie quotidienne de la communauté, la poésie en berbère se  scinde en deux catégories : la poésie masculine et la poésie féminine. La première est composée, déclamée et diffusée par les hommes, et elle est particulièrement appréciée de la communauté. Traitant généralement de la religion, de la cohésion du groupe et de la mémoire de la communauté, elle est, socialement, la plus légitimée. D’ailleurs, elle est dénommée « poésie noble » dans la recherche berbérisante, par opposition à « poésie profane », plus lyrique et cathartique et abondamment féminine.

Poésie féminine

Elle comprend plusieurs genres dont la performance est conditionnée par des contraintes liées à l’espace, au temps, au sexe des agents et des récepteurs, à l’âge et aux circonstances sociales et/ou naturelles :
Azuzzen : poèmes à rythme lent, chantés pour endormir les tout petits.
Aserqes : poèmes chantés suivant des cadences vives lors du divertissement du bébé qu’on « fait sauter » entre ses mains ; ces poèmes sont désignés en français par le terme de « sauteuses » en fonction du jeu qu’ils accompagnent.
Aḥiḥa : poèmes chantés (à voix exaltée et parfois enchantée) traitant généralement de sentiments, amoureux notamment. Ces poèmes sont exécutés entre femmes soit à la maison, soit à la fontaine, soit à la rivière (lors du lavage du linge).
Asbuɣer (ou tibuɣarin) : poèmes panégyriques chantés lors de fêtes célébrant la naissance d’un garçon, d’une circoncision et/ou d’un mariage. Chacune de ces circonstances donne lieu à un répertoire distinct.
Amɛezber : poèmes codifiés chantés sous forme d’échanges satiriques et de moqueries entre la bru et la belle mère. Il est exécuté dans l’espace de la fête, urar (littéralement : « jeu »). C’est un jeu festif fait de chants et de danses.
Acewwiq : poèmes chantés sur un rythme lent et mélancolique. Leur thématique principale est la condition de la femme, notamment celle de la femme mariée.
Aḍekker : poèmes chantés lors des veillées funèbres et/ou lors de visites aux sanctuaires des saints. Aḍekker est un type poétique mixte, réalisé séparément par les femmes et par les hommes. Le moment de réalisation, les modes d’exécution, la polyphonie et le caractère « épique » différencient aḍekker masculin de aḍekker féminin.

Poésie masculine

Si les types de poésie féminine sont codifiés à la fois au niveau social (les conditions et les situations de performance) et littéraire (notamment dans la généricité), ceux appartenant à la poésie masculine le sont moins. On n’en dénombre, à l’état actuel, que quatre types :
Aquli : poèmes dits ou chantés traitant de la thématique amoureuse. Ils sont réalisés par de jeunes gens. On les désigne également par isefra (ccna) n yimeksawen (poèmes ou chants des bergers). Ils sont l’équivalent masculin de l’aḥiḥa.
Ahellel : chants très anciens exécutés durant les veillées du ramadan, invitant à s’alimenter avant l’appel à la prière de l’aurore qui annonce le début d’une nouvelle journée de jeûne. Ce type de poésie a désormais quasiment disparu, il n’en reste que quelques bribes de strophes.
Amjadel : poèmes généralement déclamés, exécutés sous forme de joutes poétiques entre deux protagonistes. Celles-ci peuvent prendre la forme de simples échanges poétiques et peuvent aussi bien prendre la forme d’une dispute sur des sujets précis. Ce type est en quelque sorte le pendant masculin d’amɛezber féminin.
Aḍekker : poèmes chantés lors de veillées funèbres, qui traitent de la mort, des rappels à la foi et au retour à la voie religieuse. Ils diffèrent des poèmes de l’aḍekker féminin par le fait qu’ils sont exécutés de différente manière dont l’alternance des voix (mode : lmudawala), la polyphonie et l’existence dans le corpus masculin de longs poèmes traitant des péripéties héroïque (appelées tiqsidin) entre autres des prophètes (Abraham, Moïse, Mohamed).
Au-delà de ces types, la poésie masculine se distingue également par la grande quantité de textes de composition personnelle ou de textes attribués à des poètes. La notoriété de certains dépasse les limites de la tribu, comme c’était le cas des compositions des poètes appelés ifsiḥen (sing. : afsiḥ).
Jouant le rôle de porte-parole de son groupe et bénéficiant d’une reconnaissance sociale sur un territoire élargi, l’afsiḥ est l’agent poétique qui jouit d’une légitimité sociale. Ses déplacements pour se produire dans un lieu constituent à chaque fois un grand événement. L’ameddaḥ, de son côté, est un poète qui passe de village en village ou d’un marché à un autre pour déclamer son répertoire. Ce dernier peut être composé de pièces poétiques que sa mémoire a pu retenir et éventuellement des poèmes de sa propre composition.
A ces deux catégories s’ajoutent deux autres catégories d’agents poétiques : iferraḥen (sing. : aferraḥ) et iḍebbalen (sing. : aḍebbal) qui se produisent essentiellement lors d’événements festifs.

Prose

Elle est représentée par le conte et par d’autres genres narratifs. Le merveilleux définit les contes dits timucuha (sing: tamacahut) et timɛayin (sing: tamɛayt), tandis qu’une narration plus réaliste, comme dans le type appelé tiḥkayin (sing. : taḥkayt), semble caractériser le récit factuel.
Le conte (tamacahut, tamɛayt) présente des personnages typiques et merveilleux tels l’ogre et l’ogresse (awaɣzen ou lɣul, tteryel, lɣula ou tamẓa). La plupart des personnages anthropomorphes sont plutôt singuliers tant par leurs aspects que par leurs actions. C’est le cas entre autres de Mqidec, Ɛmer azgen, Mḥend bu-tkercet et de Belɛejjuḍ, des sortes de « Petits Poucets » qui défient et combattent les ogres et les ogresses. A ces personnages masculins s’ajoutent des personnages féminins comme Zelgum (ou Silyuna) et Slilwan qui incarnent beauté, bonté et intelligence.
La pratique du contage semble être une activité plutôt des femmes qui, il faut le préciser, ont l’exclusivité du répertoire merveilleux. Les autres types narratifs, notamment ceux appelés tiḥkayin, sont racontés par les hommes.

Littérature orale transcrite

Depuis plus d’un siècle et demi, une dynamique de collecte, de transcription et de traduction de la littérature orale est engagée. Pour différentes raisons, la poésie et le conte sont les genres les plus représentés dans l’histoire de cette collecte. Les devinettes, les énigmes et les proverbes n’y sont pas complètement absents pour autant.
La bibliothèque berbère dispose présentement d’un fonds de littérature orale transcrite en quantité appréciable et de qualité certaine. Les recueils de poésie, entre autres, d’Adolphe Hanoteau (1867), de Jean El Mouhoub Amrouche (1938, 1987), de Mouloud Mammeri (1969, 1980), de Tassadit Yacine (1988), de Ramdan At Mensur (1998) et de Mohand Akli Salhi (2011) ainsi que les recueils de contes, entre autres, d’Auguste Mouliéras (1893, 1895), de Jean-Marie Dallet (1963, 1967, 1970), de Taous Marguerite Amrouche (1966), de Pierre Savigniac (1978), de Youcef Allioui (entre autres 2007, 2008, 2010, 2017), de Larbi Rabdi (2003, 2006) et de Salem Zenia (2008) peuvent constituer les matériaux nécessaires pour l’histoire de la collecte du patrimoine littéraire oral, laquelle histoire constituera les fondements d’une histoire littéraire kabyle.

Renouvellement des pratiques littéraires

À la transcription des textes oraux s’ajoute le renouvellement des pratiques littéraires en kabyle. En effet, si, d’un côté, le démantèlement du socle anthropologique de la création littéraire en oralité traditionnelle a engendré l’essoufflement de certains genres littéraires oraux (comme tibuɣarin, aḥiḥa, amjadel, etc.), il est également important de souligner, de l’autre, l’émergence de nouveaux genres oraux dans le cadre de la néo-oralité. On peut mentionner le théâtre radiophonique, la poésie chantée et accompagnée par des instruments de musique, la chanson par opposition au chant traditionnel (tizlatin vs izlan) et la poésie déclamée dans des CD, les contes narrés sur support CD.

Par ailleurs, l’écriture littéraire occupe une place de plus en plus importante, comme c’est le cas pour le roman (ungal), la nouvelle (tullist), le théâtre (amezgun) et la poésie écrite (tamedyazt yuran) et la poésie médiatisée (tamedyazt yettwacnan).

Ecriture littéraire

Depuis un peu plus d’une soixantaine d’années, la littérature kabyle connaît ainsi une reconfiguration générique importante. Après une période de prédominance presque exclusive de l’oralité médiatisée, faisant de la poésie chantée et du théâtre radiophonique les expressions littéraires les plus importantes, les Kabyles se sont mis à écrire de plus en plus leur littérature.
C’est ainsi que, mises à part les premières tentatives observées dans le Fichier de Documentation Berbère, animé depuis les années quarante par les Pères Blancs, de nouvelles créations faites de nouvelles (tullisin), de textes dramaturgiques, de recueils de poésie écrite ont vu le jour durant les années soixante dix. Le mérite revient à plusieurs agents qui sont parvenus, dans des conditions difficiles et de quasi clandestinité, à insuffler à la littérature kabyle des airs de renouvellement. Parmi ces agents, on peut citer Mohia Abdellah (dit Mohand Ou Yahia), Amar Mezdad, Ben Mohamed.
Durant les dernières décennies, on assiste à la consolidation de ce renouvellement. La situation politique semble être moins défavorable à la création littéraire en berbère. La reconnaissance institutionnelle progressive du fait amazigh (berbère), arrachée au prix d’innombrables sacrifices, favorise d’une manière ou d’une autre une dense expression littéraire en kabyle. A titre d’illustration, après s’être longtemps cantonnée dans les milieux associatifs dans la diaspora, l’édition du livre littéraire en kabyle s’implante de plus en plus en Kabylie, après l’introduction la langue amazighe dans le système universitaire (1990) puis dans le système éducatif (1995) et sa constitutionnalisation comme langue nationale en 2003 puis comme langue officielle en 2016.
Des instances de reconnaissance et de légitimation de la littérature se mettent en place. Des prix (de la nouvelle, du théâtre, du roman), des festivals (de poésie comme le festival Adrar n Fad, le Festival de l’Etoile Culturelle d’Akbou et le Festival Si Mohand Ou Mhand et Yousef Oukasi à Tizi-Ouzou) et des concours littéraires sont périodiquement organisés principalement en Kabylie mais également dans la diaspora (Prix Belaid Ait Ali pour la nouvelle et Prix Rachid Aliche pour le roman à Montréal) et ailleurs en Algérie (Prix Assia Djebbar dans le cadre du Salon International du Livre d’Alger, Prix Mohammed Dib à Tlemcen, Festival du théâtre professionnel de Mostaganem). Seule une petite partie de ces instances est sous l’égide de l’Etat.

A côté de la poésie chantée (représentée par des voix reconnues comme Slimane Azem, Lounis Ait Menguellet, Lounès Matoub, Ferhat, etc.), le roman, la nouvelle, la poésie écrite et l’écriture dramaturgique prennent de plus en plus d’ampleur. Aujourd’hui, on assiste aussi bien à l’émergence de nouvelles plumes, parmi lesquelles de plus en plus de jeunes (Hocine Louni, Mourad Irnaten) et de femmes (Lynda Koudache, Dihya Lwiz, Hadjira Oubachir, Kaissa Khalifi, Nait Djidji, Katia Touati, etc.), qu’à la persévérance des écrivains plus âgés comme Abdellah Hamane, Amar Mezdad, Meziane ou Moh, Aomar Oulamara, Mohand Ait Ighil, Salem Zenia, Brahim Tazaghart, Ameziane Kezzar, etc.
Tout comme l’adaptation, la traduction prend également de plus en plus de place dans l’activité littéraire kabyle. Ainsi, sont traduits de grands noms de la littérature mondiale à l’image d’Ernest Hemingway, de Saint-Exupéry, d’Albert Camus, de Jean de La Fontaine, etc. ou des écrivains algériens d’expression arabe et/ou française comme Mouloud Feraoun, Mouloud Mammeri, Kateb Yacine, Lamara Lakhous, Tahar Ouettar, etc. Partiellement ou totalement, certains auteurs semblent se spécialiser dans la traduction d’œuvres littéraires. On pense notamment à Habib Allah Mansouri, Mokrane Chikhi, Mohand Arab Ait Kaci, Hocine Hadid, etc.

Enseignement et critique de la littérature

Par ailleurs, l’enseignement de la littérature kabyle occupe une place désormais non négligeable aussi bien dans les cycles moyen et secondaire qu’au niveau universitaire. Ces derniers temps des manuels d’initiation à la lecture des textes (littéraires), dont une bonne partie est rédigée en kabyle, sont mis à la disposition des lecteurs par des universitaires comme Bouamara, Djellaoui, Meksem, et Salhi.
La critique, journalistique et universitaire commence aussi à s’intéresser d’une manière plus conséquente à la nouvelle littérature qui s’exprime en kabyle. Des comptes rendus, des analyses, des mémoires, des thèses et des ouvrages lui sont de plus en plus consacrés. Ces derniers temps, les réseaux sociaux, notamment Facebook, et les blogs sur Internet s’avèrent des moyens privilégiés de diffusion de cette critique.

Dynamique

Même si elle se développe à la périphérie du système institutionnel algérien, la littérature kabyle gagne constamment de nouveaux espaces et affirme son existence. Militantisme politique et culturel aidant, elle assure progressivement sa visibilité et sa vitalité.

 


 

Références bibliographiques:

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III. Textes de la littérature écrite (Roman, nouvelle, poésie)

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    • LUNI Ḥusin, [s.d.] Asebbaɣ [Le peintre], Tizi-Ouzou, Editions Richa Elsam.
    • LWIZ Dihya, 201, Gar Igenni d tmurt [Entre ciel et terre], Tizi-Ouzou, Frantz Fanon.
    • MAƐUCI Lhadi, 2011, Tilawt, [La réalité], Béjaïa, Editions Khalfi.
    • MAƐUCI Nawal, 201, Gugmen yinzizen [Les cordes muettes], Béjaia, Editions Tira.
    • MAOUCHI Amar, 2014, Tasusmi-ik [Ton silence], Afrimed, Editions.
    • MAZARI, 2015, Abrid n twaɣit [La voie du malheur], Tizi-Ouzou, Tamagit.
    • MECHAOUR Mohand, 2018, Abrid n Tefsut [La voie du printemps], Tizi-Ouzou, Editions Richa Elsam.
    • MEGHZOUCHÈNE Belkacem, 2017, Tazemmurt tcudd s aẓar-is. Kayan yeqqden tanekra n 1871, [L’olivier est lié à ses racines. Cayenne cicatrice de l’insurrection de 1871], Tizi-Ouzou, Achab Editions.
    • MEKSEM Zahir, 2015, Tabrat n uẓekka [Lettre d’outre-tombe], Béjaia, Tira Editions.
    • MENICHE Abdel Malek, 2015, Tayri d teɣzent [L’amour et [?], Bouira, Asirem Editions.
    • MEZDAD Amar, 1990, Iḍ d wass [Le jour et la nuit], Alger, Editions Asalu/Azar.
    • MEZDAD Amar, 2001, Tagrest urɣu [Hiver brûlure], [s.l.], [s.é.].
    • MEZDAD Amar, 2006, Ass-nni [Ce jour-là], [s.l.], [s.é.].
    • MEZDAD Amar, 2014, Tettḍili-d ur d-tkeččem [Entrance hésitante], [s.l.], Ayamun.
    • MEZDAD Amar, 2015, Yiwen wass deg tefsut [Un jour de printemps], [s.l.], Ayamun.
    • NEKKAR Ahmed, 1999, Yugar ucerrig Tafawett [La déchirure est plus grande que la pièce], [Alger], Ed. Yuba wissin.
    • NEKKAR Ahmed, 2012, Ger ẓẓebra d yifḍisen [Entre le marteau et l’enclume], Tizi-Ouzou, Le Savoir.
    • OUBELLIL Youcef, 2004, Arrac n tefsut [Les enfants du printemps], Tizi-Ouzou, Tizrigin n Wegraw Adelsan Amaziɣ.
    • OUHEMZA Amar, 1994, Si tedyant ɣer tayeḍ [De péripétie en péripétie], Lyon, Editions berbères.
    • OULAMARA Omar, 2010, Omaha Beach. Ass-a d wussan, [Omaha-Beach. Aujourd’hui et autres jours?], Alger, FCNAFA.
    • OULAMARA Omar, 2009, Tulliamun. Taggara n Yugurten, [Tullianum, la fin de Jugurtha], Alger, HCA.
    • OULAMARA Omar, 2011, Akkin i wedrar [Par delà la montagne], Tizi-Ouzou, Ed. Achab.
    • OULAMARA Omar, 2015, Timlilit di 1962 [Une rencontre en 1962], Tizi-Ouzou, Ed. Achab.
    • OULANSI Lyazid, 2003, Ddida [Ddida], Béjaïa, [s.é.].
    • OULD-AMAR Tahar, 2006, Bururu. Ur teqqim, ur tengir [Le hibou. Le statu-quo], Béjaïa, Ed Azur.
    • RABIA Boualem, 2009, Nnig usennan [Au-delà de l’épine], Tizi-Ouzou, Odyssée Editions.
    • SADI Saïd, 1991, Askuti [Le boy-scout], Alger, Asalu.
    • TAZAGHART Brahim, 2003, Salas d Nuja [Salas et Nouja], [Béjaïa], [s.é.].
    • TAZAGHART Brahim, 2013, Inig aneggaru [Le dernier voyage], Béjaïa, Tira Editions.
    • TAZAGHART Brahim, 2015, Nayla [Nayla], Béjaïa, Tira Editions.
    • TIGHZERT Samir, Tiyita [Le coup], Bgayet, [s.é.].
    • ZAMOUCHE Slimane, 2007, Agellidl akk d ineffuten yelhan [Le roi et les bons esprits], Alger, HCA.
    • ZENIA Salem, 2002, Iɣil d wefru [Abus et sabre], Paris, L’Harmattan /Awal.
    • ZENIA Salem, 1995, Tafrara [L’aurore], Paris, L’Harmattan/Awal.
    • ZENIA Salem, 2011, Aẓar n Tagut [La racine du brouillard], Béjaia, Tira Editions.
b. Nouvelles (Tullisin)
    • ABDENBI Ramdane, 2010, Timsirin n tudert akked tullisin nniḍen [Leçons de vie et autres nouvelles], Béjaia, Tira Editions.
    • ABDENBI Ramdane, 2013, Aqcic akked yiɣid akked tullisin nniḍen [L’enfant et le bouc et d’autres nouvelles], Alger, Anep.
    • ACHOURI Youcef, 2012, Aklan n tayri akked tullisin nniḍen [Esclaves de l’amour et autres nouvelles], Alger, HCA.
    • AIT IGHIL Mohand, [1999], Allen n tayri, [Les yeux de l’amour], Bgayet, Tiddukla Tadelsant Tamaziɣt.
    • AIT IGHIL Mohand, 2000, Atlanta. Tullizin, [Atlanta, Nouvelles], Bgayet, Tiddukla Tadelsant Tamaziɣt.
    • AIT IGHIL Mohand, 2003, Tchekhov s teqbaylit. Tullizin [Tchekhov en kabyle, Nouvelles], [Béjaia], [s.é.].
    • AIT KACI Mohamed Arab, 2011, Ṭaṭabaṭaṭa. Tullisin, [Blablabla, nouvelles], Tizi-Ouzou, Editions Mehdi.
    • AIT KACI Mohamed Arab, 2014, Idɣaɣen n tefsut. Tullisin [Les cailloux du printemps, nouvelles], Tizi-Ouzou, Akma Editions.
    • BESSACI Islam, 2011, Azal n tayri akked tullisin nniḍen [La prix de l’amour et autres nouvelles], Alger, HCA.
    • BOUAMARA Kamal, 2009, Nekni d wiyiḍ. Tullisin, [Nous et les autres. Nouvelles], Béjaia, Tira Editions. [1998, Alger, HCA].
    • BOUZEBOUDJA Noufel, 2013, Ahya Ssimra! Tullisin [Quel gâchis !] , Béjaia, Tira Editions.
    • CHEMAKH Said, 2008, Ger zik ed tura (d tullisin ed yeḍrisen nniḍen) [Entre passé et présent, nouvelles et autrs textes], Alger, Editions Baghdadi.
    • GIDE André, 1996, Tuɣalin n weqcic ijaḥen [Le retour de l’enfant prodigue], Bgayet, tasuqilt Kamal Bouamara, Tiddukla tadelsant Tamaziɣt.
    • HALOUANE Hacene, 2014, Tamekrust akked tullisin nniḍen [Le noeud et autres poèmes], Alger, HCA.
    • ḤUD Malek, 2008, Timsirin n yiḍ. Tullisin [Les leçons de la nuit, nouvelles], Béjaia, Tira Editions.
    • IFSAN N TAMUNT. Tullisin n tmurt n tmazgha [Nouvelles de Tamazgha], Béjaia, Tira Editions.
    • MAUPASSANT Guy de, 2009, Amneṭri akked tullisin-niḍen [L’errant et autres nouvelles], [Béjaia], tasuqilt Ahmed Hamoum, tazwartAbdennour Abdesselam, Association Culturelle n ‘Imazighen de Belgique.
    • MEZDAD Amar, 2003, Tuɣalin d tullisin nniḍen [Le retour et autres nouvelles], Béjaia, [s.é.].
    • OUSLIMANI Remdane, 2004, Akli ungif [Akli le sôt], Alger, HCA.
    • ZIMU Mourad, 2010, Ameddakel d tullisin nniḍen [Le compagnon et autres nouvelles], Béjaia, Tira Editions.
    • ZIMU Muṛad, 2005, Tikli d tullizin nniḍen [Déambulations et autres nouvelles], Alger, HCA.
c. Recueils de poésie
    • AIT ALI Toudert, [1997], Adrar yeddren [La montagne vivante], [s.l.], [s.é.]
    • AIT AMRANE Mohammed Idir, [199?], Inachidn oumennough : [Chansons de combat 1945- 1951 : l’éveil de la conscience identitaire], [s.l.], [s.é.].
    • AKNINE Mekioussa (Sonia), 2003, Ayen ? Ayen ? (amud isefra) [Pourquoi ? Pourquoi ? (recueil de poèmes), [s.l.], [s.é.].
    • AMEDYES N TMAZƔA, [s.d.], Tayri i tudert [L’amour pour la vie], [s.l.], [s.é.].
    • AMIRAT, 1996, Tiɣri ielmezzyen [L’appel des jeunes], [s.l.], [s.é.].
    • ARBAOUI Hocine, 2004, Idurar ireqmanen [Des montagnes bariolées], Alger, HCA.
    • ARKUB Abdellah, [2004], Tisuɣa n idammen [Cris du sang], [s.l.], [s.é.].
    • AT MENSUR Remdan, 1996, Tiɣri [L’appel], Paris, L’Harmattan.
    • AT MENSUR Remdan, 2001, Agani [L’attente], Alger, Ed. Zyriab.
    • BAGHDED Laldja, 2006, Timiqwa d isekkilen [Des gouttes et des lettres], Préface de M. Djellaoui, [Bouira], [s.é.], 64p.
    • BAYA S., 1986, Isefra : tamedyazt n tmeṭṭut taqbaylit [Poèmes : poésie de la femme kabyle], Paris, [s.é.].
    • BELKHOUAS Mourad, 2005, Times yensan : tamedyazt [Le feu éteint], [s.l.], [s.é.].
    • BEN BMER Nadya, 2006, Tajmilt i Si Muḥend u Mḥend, Wehra [Hommage à Si Mohand ou Mhand], [s.l.], Tiddukla Numidya n Wehran, 14 p.
    • BEN MOHAMED 1992, « Poèmes », Littérature et oralité au Maghreb : hommage à Mouloud Mammeri, Itinéraires et contacts de cultures, vol. 15-16, pp. 171-183.
    • BENSID Sofiane, 2007, Gar wass akk d yiḍ : isefra [Entre le jour et la nuit, poèmes], Préface Abdelaziz Djellouya, [s.é.], [Béjaïa].
    • BETTAH Rabah, 1999, Amrig-iw [Mon arme], [s.l.], [s.é.].
    • BOUCHAKOUR Moussa, 1999, Isefra : Tamedyazt tamaziɣt (poésie berbère), Tizi-Ouzou, Ed. El Amel.
    • BUOU Tufiq, 2003, Imeṭṭawen n tmes [Les larmes du feu], [s.l.], [s.é.].
    • CHABANE Amazigh, [2003], Ḥadret ccetla [Prenez soin de l’espèce], [s.l.], [s.é.].
    • CHERIEF Karim, 1999, L’espoir = Asirem, [s.l.], [s.é.].
    • CHERIEF Karim, 2003, Taqbaylit-iw [Ma kabylité], [Tizi-Ouzou], [s.é.].
    • FADALI Zahra, 2005, Agerruj yettrun : amud n yisefra [Le trésor en pleurs : receuil de poèmes), [s.l.], [s.e], 38p.
    • FERHUH Xaled, Agerruj yefren [Le trésor enfoui], [s.é.], [s.l.], [s.d.].
    • HAMADOUCHE Ahmed, 2004, Tiɣri n Umsedrar : Ammud isefra [L’appel du montagnard, recueil de poèmes], Alger, HCA.
    • HARDOU Salah, 2007, Sebret kan ay arraw-iw, ur ttrut, [Mes enfants, ne pleurez pas], Béjaïa, [s.é.], 67 p.
    • HARDOU Salah, 2007, Isefra n La Soummam [Poèmes de la Soummam], Béjaïa, [s.é.], 67 p.
    • HMED-ZAYED, 1981, Isefra umeḥbus [Les poèmes du prisonnier], Paris, Tisuraf-Imedyazen.
    • HOUD Malek, [2004] Asirem yessaramen [L’espoir qui espère], [Alger], Ed. Baghdadi.
    • IHIOATEN Belqasem, [2004], Aḥiwec [Glanage], [.s.l.], [s.é.].
    • IHIǦATEN Belqasem, [2004], Seg wawal ɣer wayeḍ [D’une parole à une autre], Tizi-Ouzou, [s.é.].
    • IHIǦATEN Belqasem, 2005, Tamusta n isefra [Une gerbe de poèmes], Tizi-Ouzou, [s.é.].
    • IHIǦATEN Belqasem, 2005, Asegres [Musette], Tizi-Ouzou, [s.é.].
    • Isefra inagan n Yelli-s Idurar [Poèmes témoins de la Fille des montagnes], [200?], [s.l.], Tiddukla Numidya n Wehran, 120 p.
    • LARABI Rabah 2002, Aqriḥ : tamedyazt [Malheur], Tizi-Ouzou, [s.é.].
    • KERROUCHE Abdelhafid, 2004, Teɣzi n yiles: ammud isefra [Commérages : recueil de poèmes], Alger, HCA.
    • KHALOUA Saïd, 2004, Tili n usirem [L’ombre de l’espoir], Tizi-Ouzou, Editions El-Amel.
    • KOUDACHE Lynda, 2004, lliɣ uqbel ad iliɣ [J’existais avant d’être], Tizi-Ouzou, [s.é.].
    • MAKOUR Ali, 2002, Ul yerɣan : tamedyazt [Cœur brûlé : poésie], Tizi-Ouzou, Ed. El Amel.
    • MARRICHE Ahcen, [2004], Iḍ yukin [La nuit éveillée], [s.l.], [s.é.].
    • MARRICHE Ahcen, [2005], TaTezzult-iw [Mon trésor], [s.l.], [s.é.].
    • MEDDOUR Kader, 2006, Tayerza s wallen : Ammud n tmedyazt [Labourer avec les yeux, recueil de poésie], Tizi-Ouzou, Editions Le Savoir.
    • MEKI Arezki, 1983, Le pain d’orge de l’enfant perdu, Ed. Naaman.
    • MESSOUCI Boualem, 2003, Fables de La Fontaine choisies et adaptées en tamaziɣt, [s.é.].
    • MEZAOUI Hamid, 1999, Aziduḍ ičča uzayaḍ [L’oiseau victime de la bourrasque], [s.l.], [s.é.].
    • MEZDAD Aamar 1991, Tafunast igujilen [La vâche des orphelins], [s.l.], [s.é.].
    • MOHAMMEDI Anissa, 2002, Anadi [Quête], Paris, Ed. Berbères.
    • SABI Kamal, 2003, Lemwaji n lebḥer [Les vagues de la mer], [s.l.], [s.é.].
    • SABI Kamal, 2003, Inigan n yiḍ [Les témoins de la nuit], [s.l.], [s.é.].
    • SAHKI Racid & Slimani Brahim, [1993], D acu i ɣ-yuɣen [Que nous arrive-t-il ?], Boufarik, Imprimerie l’Artisan.
    • TAFERKA Djamila, 2006, Ǧamila… Tiregwa n nnfiḍ : ammud n tmedyazt, [Djamila… Sillons de gouttes, recueil de poésie], Tizi-Ouzou, Editions Le Savoir.
    • TAZAƔART Brahim, 2006, Akkin i tira [Au-delà de l’écriture], Béjaïa, Editions Azur.
    • U-MUH Mezyan, 1988, Targit umedyaz [Le rêve du poète], Saint-Ouen, Ed. Abrid-a.
    • U-MUH Mezyan, 2000, Lḥif yuran [Misère fatale], [s.l.], [s.é.].
    • Tibḥirt n yimedyazen [Le jardin des poètes], 2005, Alger, HCA.
    • YAHIA l’Hocine, 1990, Wer tamurt [Sans pays], Montréal, Association culturelle berbère.
    • YAHIA l’Hocine, [1995 ?], Afraḍen n wul [Les déchets du coeur], Montréal, [s.é.].
    • ZAMOUCHE Slimane, 2003, Uḍan n tegrest [Nuits d’hiver], Alger, HCA
    • ZAMOUCHE Slimane, 2004, Inagan [Les témoins], Alger, HCA
    • ZENIA Salem, 1993, Les rêves de Yidir : berbère-français, Paris, L’Harmattan.
    • ZENIA Salem, 2004, Tifeswin [Printemps], Paris, L’Harmattan.
    • ZERROUGUI Mohanmed, 2002, Ddaw tili n tayri [Sous l’ombre de l’amour], [s.l.], [s.é.].

Mohand Akli Salhi  &  Amar Ameziane